THÉÂTRE ET DANSE

GISELLE...

François Gremaud / 2b company

Dates de spectacle

jeudi 5 mai 2022 / 20h
vendredi 6 mai 2022 / 20h
samedi 7 mai 2022 / 20h
dimanche 8 mai 2022 / 19h

Durée : 1h50

Tarif

Plein tarif : 48.- 38.- 25.-Tarif étudiant + AI : 15.-


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Billetterie
EN VENTE
Accessibilité
  • introduction au spectacleProposé avec une introduction au spectacle
  • places pour Personnes à Mobilité Réduiteplaces pour Personnes à Mobilité Réduite
  • boucle magnétiqueLa salle dispose d'une boucle magnétique
Autour du spectacle

Comme à son habitude, François Gremaud offre un spectacle dirigé dans « la joie de l’étonnement », sa marque de fabrique.

Giselle, une paysanne, décède de tristesse en apprenant que l’homme qu’elle aime, le duc Albrecht, est déjà fiancé à une princesse. La reine des Willis, esprits de jeunes filles mortes vierges, souhaite la venger et condamne Albrecht à danser jusqu'à mourir d’épuisement. Mais l'esprit de Giselle, en dansant avec lui, arrive à le sauver. L'amour est plus fort que la mort… Après Conférence de choses et Phèdre ! (Seuls en scène hilarants présentés au Reflet en 2018 et 2019), François Gremaud revient avec Giselle…, d’après le ballet éponyme. De la même façon que dans Phèdre ! − où Romain Daroles racontait, seul en scène, la célèbre pièce de Racine − la danseuse Samantha van Wissen raconte et interprète ce ballet mythique, considéré comme le chef-d’œuvre du ballet romantique. Mais cette Giselle… est accompagnée de trois points de suspension, qui traduisent l’inexprimable et expriment l’ineffable de l’émotion, véritable sujet de la pièce.

Médias à télécharger

Avec
Samantha van Wissen

Musiciennes interprètes
Léa Al-Saghir (Violon) Tjasha Gafner (Harpe) Héléna Macherel (Flûte) Sara Zazo Romero (Saxophone)

Texte
François Gremaud, d’après Théophile Gautier et Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges

Assistanat
Wanda Bernasconi

Concept et mise en scène
François Gremaud

Chorégraphie
Samantha van Wissen, d’après Jean Coralli et Jules Perrot

Son
Bart Aga

Direction technique 2b company & lumières
Stéphane Gattoni – Zinzoline

Photographies
Dorothée Thébert-Filliger

Traduction anglaise et surtitres
Sarah Jane Moloney

Administration, production, diffusion
Noémie Doutreleau et Michaël Monney

Musique
Luca Antignani, d’après Adolphe Adam

Production
2b company

Coproductions
Théâtre de Vidy-Lausanne (CH) Théâtre Saint-Gervais, Genève (CH),  Bonlieu Scène Nationale Annecy (FR), Malraux Scène Nationale Chambéry Savoie (FR) dans le cadre du projet PEPS - Plateforme Européenne de Production Scénique, Théâtre de la Ville – Paris / Festival d’Automne à Paris

Soutiens
Programme PEPS de coopération territoriale européenne INTERREG V.
La 2b company est au bénéfice d’une convention de soutien conjoint de la Ville de Lausanne et du Canton de Vaud. Loterie Romande, Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture, Ernst Göhner Stiftung, Fondation Leenaards, Pour-cent culturel Migros Vaud, Fondation Suisse des Artistes Interprètes.

Autour du spectacle

Introduction au spectacle

Vendredi 6 mai, à 19h, en introduction au spectacle, présentation de l’œuvre et de la mise en scène par François Gremaud.

Suggestions de la bibliothèque de Vevey

LETTRES DE SUICIDE

Philosophie

Le suicide a été vanté dans l'Antiquité gréco-latine comme un geste d'honneur (mieux vaut une mort digne qu'une vie infâme) avant d'être condamné par les religions ou d'être vu comme une pathologie par la psychiatrie. Simon Critchley parcourt sans jugement les histoires de suicides, de Sénèque à Kurt Cobain, et démonte les arguments moraux et théologiques selon lesquels un individu n'a pas le droit de disposer de sa vie. Mais inversement il critique l'individualisme qui prétend que chacun est l'exclusif propriétaire de soi-même. C'est en examinant les lettres d'adieu laissées par les suicidés que Critchley accède au plus près du suicide. La manière de se tuer, les lieux choisis, les mots et les symboles qui accompagne le geste meurtrier ont une importance essentielle. La façon de mourir donne un sens à la vie passée, ce qui effraie et fascine les survivants. Car l'horreur du suicide se tient dans cette question qu'il pose à tous : la vie vaut-elle la peine d'être vécue ?
 

PINA : DANSEZ, DANSEZ, SINON NOUS SOMMES PERDUS / UN FILM POUR PINA BAUSCH DE WIM WENDERS

vidéo

DANSEUR

roman

Retrace la vie de Rudik depuis 1941, date à laquelle il a découvert la danse en assistant à un ballet avec sa mère à l'opéra. Depuis ce moment il n'a plus qu'un rêve, devenir danseur, même s'il doit pour cela aller contre la volonté de son père et quitter l'URSS. Roman inspiré par Rudolf Noureev.